Créations de la compagnie

Le Prix de l'essence porte des projets chorégraphiques et audiovisuels transdisciplinaires en relation aux personnes, aux environnements, aux oeuvres.

L'enjeu est de connecter le dedans au dehors, dans une perspective éthique de résonance qui engage le mouvement et le partage des expériences sensibles en lien à l'époque et à la Terre. 

Les  processus engagés sont transdisciplinaires, en cela qu'ils s'ouvrent à l'inconnu pour questionner le monde et impliquent plusieurs niveaux de réalité. 

 La compagnie développe actuellement 4 axes de création :

- Danses au musée

- Danses in situ 

- Danses avec les arbres

- Écosophie

 Autour de ces axes s'articulent des pièces et des performances.

 

Une minute de danse par jour

Le projet principal porté par le Prix de l'essence depuis 2015 est Une minute de danse par jour.  

 Voir le site dédié 

 

Il nous faudra beaucoup d'amour

« Dans les musées, les œuvres sont vivantes, leur langue nous connecte à l’invisible. Elle témoigne de sensations éprouvées, qui continuent d’agir par l’agencement des matériaux, des formes et des couleurs. Nous dansons sur leurs sons silencieux. La danse s’initie dans le vide vibratoire, espace quantique où la genèse des œuvres continue de s’actualiser au présent. Il nous faudra beaucoup d’amour pour entrelacer l’ombre et la lumière dans le ciel rose du soir qui tombe. Il nous faudra convoquer des joies alchimiques pour battre le temps incandescent. L’art nous connecte à une pensée vivante, il ne cesse de nous porter vers l’avenir. Les œuvres sont les portes d’un cosmos où la pensée est matérielle et la matière spirituelle ; un cosmos au sein duquel nous aurons toujours la promesse de vivre. ».

Nadia Vadori-Gauthier, décembre 2021