Beau ! J'aime beaucoup quand tu écris sous les vidéos le contexte, ou deux trois mots échangés avec les inconnus que tu croises sur la route (ex : il est 8h40 du matin, ou bien "chacun son
métier...". ça rend l'expérience encore plus touchante/intéressante.
Continue!
#2
Quang'y(mercredi, 28 janvier 2015 16:02)
J'aime toujours cette idée de boite où tu navigues dedans.
Il n'y a pas de hors champs, tout est là, même si tu essayes de t'échapper la tête à l'envers :)
#3
Zoubida(jeudi, 29 janvier 2015 00:47)
Je suis tombée presque par hasard sur votre blog. Je suis époustouflée de voir à quel point la limite entre votre corps et votre "décorps" est gommée. Quelle différence entre vous et un escalier ?
Aucune. Quelle différence entre vous et un fruit ? Aucune. C'est incroyable. Les interférences entre le monde visible et le monde invisible se brouillent et vous apparaissez : votre âge est
impossible à deviner. Une femme ? Une brouette ? Une chatte de gouttière ? J'ai revisité le cadre avec vous. J'ai parcouru les kilomètres de cet escalier. Je sais à quoi se conscrit l'espace
désormais : à une batgirl. Merci ! Et chapeau l'artiste !!
Merci***
(oui je travaille à habiter les interstices entre "corps et décorps", visible et invisible et d'autres choses encore.
Plus d'infos ici :
http://www.leprixdelessence.net/le-corps-collectif/
http://www.leprixdelessence.net/du-mouvant/
#5
Zoubida(jeudi, 29 janvier 2015 14:19)
De rien ! Je regarde toutes vos vidéos du coup :) Mais je me demande : comment vous sentez-vous pendant la performance ? Heureuse ? Malheureuse ? Est-ce un retour au sources ? A LA source ?
Ce n'est pas une question de heureuse ou pas. Je me connecte au lieu, et à mes états du moment quels qu'il soient, sans chercher à les "améliorer". J'active des relations des connections, je convoque
des intensités de l'instant, je me mets en danse. C'est le lieu qui me danse alors que je danse le lieu. Après, quelque chose à changé, s'est transformé. Et cette transformation, même infinitésimale,
que je sois gaie ou triste, en forme ou fatiguée, m'apporte de la joie.
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Swann (samedi, 24 janvier 2015 17:31)
Beau ! J'aime beaucoup quand tu écris sous les vidéos le contexte, ou deux trois mots échangés avec les inconnus que tu croises sur la route (ex : il est 8h40 du matin, ou bien "chacun son métier...". ça rend l'expérience encore plus touchante/intéressante.
Continue!
Quang'y (mercredi, 28 janvier 2015 16:02)
J'aime toujours cette idée de boite où tu navigues dedans.
Il n'y a pas de hors champs, tout est là, même si tu essayes de t'échapper la tête à l'envers :)
Zoubida (jeudi, 29 janvier 2015 00:47)
Je suis tombée presque par hasard sur votre blog. Je suis époustouflée de voir à quel point la limite entre votre corps et votre "décorps" est gommée. Quelle différence entre vous et un escalier ? Aucune. Quelle différence entre vous et un fruit ? Aucune. C'est incroyable. Les interférences entre le monde visible et le monde invisible se brouillent et vous apparaissez : votre âge est impossible à deviner. Une femme ? Une brouette ? Une chatte de gouttière ? J'ai revisité le cadre avec vous. J'ai parcouru les kilomètres de cet escalier. Je sais à quoi se conscrit l'espace désormais : à une batgirl. Merci ! Et chapeau l'artiste !!
Nadia Vadori-Gauthier (jeudi, 29 janvier 2015 09:08)
Merci***
(oui je travaille à habiter les interstices entre "corps et décorps", visible et invisible et d'autres choses encore.
Plus d'infos ici :
http://www.leprixdelessence.net/le-corps-collectif/
http://www.leprixdelessence.net/du-mouvant/
Zoubida (jeudi, 29 janvier 2015 14:19)
De rien ! Je regarde toutes vos vidéos du coup :) Mais je me demande : comment vous sentez-vous pendant la performance ? Heureuse ? Malheureuse ? Est-ce un retour au sources ? A LA source ?
Nadia Vadori-Gauthier (samedi, 31 janvier 2015 13:03)
Ce n'est pas une question de heureuse ou pas. Je me connecte au lieu, et à mes états du moment quels qu'il soient, sans chercher à les "améliorer". J'active des relations des connections, je convoque des intensités de l'instant, je me mets en danse. C'est le lieu qui me danse alors que je danse le lieu. Après, quelque chose à changé, s'est transformé. Et cette transformation, même infinitésimale, que je sois gaie ou triste, en forme ou fatiguée, m'apporte de la joie.
Muriel Roland (lundi, 09 février 2015 21:41)
Epoussette ma forme, sinon j'épouse la tienne...